Voilà sept mois que je n'ai pas écrit ici.
Ce n'est pas que le voyageur soit resté en panne de voyage, mais parfois on progresse dans le silence et la solitude, bivouaquant en chemin sans rencontrer quiconque. Je parle ici de rencontre d'intériorité à intériorité, pas de bavardages qui risquent toujours d'étouffer ce léger bruissement du vent divin dans les feuilles des arbres de la terre intérieure.